[Lecture] Princesse Sara : le retour de Lavinia

Audrey Alwett & Nora Moretti

Editions Soleil
2014

48 pages

Sara Crewe continue de dissimuler son identité pour pouvoir travailler dans l'usine d'automates qui appartenait autrefois à son père. Mais le baiser malvenu de Léopold risque de jeter tous ses plans à terre. Sa réputation et celle de l'usine sont mises à mal. À présent, comment convaincre le vieil Ernest que ses intentions sont nobles et sincères ?
Ce que Sara ignore encore, c'est que Lavinia Herbert vient de débarquer à Pondichéry, Lavinia, que ses parents ont placée dans une situation très délicate, Lavinia, qui serait ravie de s'offrir une revanche aux dépens de sa plus vieille ennemie...

Ma note : ★★★★☆

Mon avis : Bon, cette BD se résume à un seul personnage : Lavinia. Pour une fois, j'ai eu pitié de ce personnage, méritant pourtant des claques dans sa jeunesse.

Au début, Lavinia attire le gratin de Pondichéry car elle revendique connaître Sara. Son problème principal : ses parents veulent la marier à un homme ayant le double de son âge. Elle demande donc l'aide de Sara. En échange, elle lui promet de garder son secret.
De plus, noël approche. Une fête est donc organisée à l'usine Delatour pour présenter la nouvelle collection d'automates.

Déjà : les robes sont magnifique (je me devais de le préciser). Dans cette BD, nous avons beaucoup (beaucoup, beaucoup, beaucoup) plus d'action que dans ce tome que dans l'autre. Nous nous rendons compte que l'étau se resserre autour de Sara, et que l'arrivée de son ancienne meilleure ennemie n'arrange en rien. Je trouve que ce dernier tome redonne un coup à la série pour nous émerveiller encore un peu.
Ah oui, il y a aussi Léopold (alias petit-fils Delatour) qui m'a... fait autant rire que pleurer. C'est malheureux ce qui lui est arrivé. Mais quand il essaie d'arranger la situation, il ne fait qu'aggraver son cas. Puis on se rend compte qu'il fait plus une fixation sur quelqu'un qu'autre chose...

En résumé, un dernier tome (pour le moment) qui m'a beaucoup séduit. Les dessins sont toujours aussi beau. Malheureusement, certains passages sont tellement simpliste qui l'on oubli de rigoler...